
Memo Cadres n° 123
Vecteur d’émancipation et de réalisation de soi pour certains, source d’aliénation pour d’autres, le travail occupe une place centrale dans la vie des individus.
Il en va de même pour les agents de la DGFIP. Or aujourd’hui et peut-être plus qu’avant, le travail à la DGFIP peut faire mal.

Le travail est aujourd’hui traversé par des tensions profondes. À la DGFIP, ces tensions prennent une acuité particulière. Entre restructurations incessantes, perte de sens, pression managériale et absence de reconnaissance, le mal-être s’installe durablement.
Ce constat, loin d’être anecdotique, appelle une prise de conscience collective et des réponses à la hauteur des enjeux humains et sociaux.
Pour aller plus loin, lisez nos publications :
Allocution du Premier Ministre: l'heure de vérité, les efforts ne seront pas partagés !
Aides aux entreprises - Il est urgent d’objectiver et de conditionner leur attribution
Défendre la transition écologique : un impératif syndical et social
Quand le cynisme mine l’engagement dans la fonction publique… - Publication The conversation
Les Français·es veulent moins d’enfants - Publication INED
Conseils de lecture :
Economie des retraites d'Anne Lavigne aux éditions de La Découverte
Le Grand Paris d'Aurélien Bellanger aux éditions Gallimard (collection Folio)
Directrice de publication : Florence Bochnakian