Ce que nous comptions dire à la Directrice Générale au lendemain du 9 juin...
Un CSAR aurait dû s’ouvrir le 10 juin. Mais certaines organisations syndicales ont demandé à différer les travaux du CSAR jugeant ces derniers incompatibles avec la situation politique actuelle.
L'alliance CFDT-CFTC ne s'est pas jointe à cette demande considérant que le dialogue reste nécessaire pour défendre les intérêts des agents de la DGFIP et faire avancer leurs droits.

Dans ces conditions, il n’a pas été possible de lire notre déclaration à la Directrice générale (cf pièce jointe). En effet, Solidaires, CGT et FO, considérant que la période électorale qui s'ouvre ne permet pas de discuter de sujets relevant de « commandes politiques » , ont demandé à la Directrice générale de ne pas ouvrir ce CSAR et de le reporter après le second tour des élections législatives, soit à partir du 8 juillet, ce qu’elle a accepté [le prochain CSAR est programmé le 9 juillet].
Nous restons pleinement engagés aux côtés des agents de la DGFIP dans un projet collectif fidèle à nos valeurs de solidarité, de liberté et d’émancipation, de promesse démocratique et d’espoir.